Dans ce pays asiatique, où seulement 1 300 catholiques vivent dans huit paroisses, les lieux de culte ont été fermés et les réunions religieuses interdites en raison de la pandémie. Il y a de la tristesse, mais aussi beaucoup d’espoir. Les gens sont prêts à affronter les difficultés. Les réseaux sociaux et les nouveaux programmes de catéchèse sont utilisés pour être proche d’eux. En Mongolie, l’évangélisation de l’Église a commencé il y a seulement 29 ans, mais ses fruits sont surprenants.

Bien que la pandémie ait entraîné la fermeture complète des lieux de culte et la suspension totale des réunions religieuses, la Mongolie vit une Pâque pleine d’amour et d’espoir. Cela est clairement perceptible dans le ton de la voix de monseigneur Giorgio Marengo, Vicaire apostolique d’Oulan-Bator, capitale du pays d’Asie centrale, lorsqu’il explique sereinement que parmi les fidèles il y a un peu de tristesse, mais en même temps, ils comprennent bien l’urgence qui est vécue et savent être un peuple compact capable d’affronter les difficultés avec un esprit de cohésion.